Dans le cadre du dossier ISITE de Montpellier, MUSE, il a été convenu d’adopter une politique de signature commune des publications scientifiques. La volonté exprimée par tous les acteurs étant de faire émerger « une université de rang mondial », il a été décidé que la « marque » commune à faire apparaître serait identique au nom de l’établissement porteur, à savoir : l’Université de Montpellier. Le jury international a fait de cette action une obligation.
Il a donc été convenu :
- De manière générale, se caler sur le cadrage global de la charte AVIESAN, à savoir :
- Mono-ligne.
- Affichage systématique de la marque Univ Montpellier[1], même si l’Université elle-même n’est pas tutelle (ou « Université de Montpellier » ou « University of Montpellier » selon les exigences des éditeurs).
- « Univ Montpellier » est suivi de l’affichage de toutes les tutelles de l’unité par ordre alphabétique.
- Dénomination de l’unité en mode abrégé (ex. : LIRMM, et pas : LIRMM UMR[2] 5506).
- Description de l’adresse en mode compact (ville, pays ; pas de code postal, pas de CEDEX …).
- Affichage en mode ascendant.
- A titre exceptionnel, quand des contraintes particulières pèsent sur un établissement, ajout éventuel d’une deuxième ligne.
Dans ce cas, l’établissement concerné informe ses laboratoires.
[1] La proposition « Univ Montpellier » permet une graphie unique, sans se poser la question de la langue.
[2] Ces acronymes sont inconnus hors de France, et peuvent être source de mauvaise interprétation ; les codes numériques sont différents d’une tutelle à l’autre.